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Cliquez ici pour une liste mise à jour des comtés de l’Indiana concernés par les restrictions.
La propagation du COVID-19 a ralenti dans l’Indiana, comme le montre la dernière mise à jour des cartes du département de la santé de l’État .
Il y a deux semaines, 73 comtés connaissaient le niveau de propagation le plus élevé. Cette semaine, seuls cinq comtés le sont. Huit comtés sont dans la catégorie jaune pour une propagation communautaire modérée, le plus grand nombre dans cette catégorie au cours d’une semaine depuis au moins la mi-novembre.
Les comtés désignés en jaune sont Adams, Elkhart, Marshall, Monroe, Parke, Sullivan, Tippecanoe et Wells. Les comtés rouges sont Franklin, Gibson, Ohio, Spencer et Whitley.
Alors que l’Indiana connaît une amélioration, le coronavirus continue de se propager dans tout l’État. La grande majorité de l’État – 79 des 92 comtés – connaît une propagation modérée à élevée, la catégorie orange. Aucun comté ne connaît une propagation minime.
Ces catégorisations correspondent au score métrique hebdomadaire attribué par le ministère de la Santé de l’Indiana. Bien que le score hebdomadaire soit plus actuel, il ne détermine pas à quelles restrictions un comté est confronté. Le niveau consultatif d’un comté détermine les restrictions.
Selon cette mesure, 58 comtés sont dans la catégorie orange et 34 sont en rouge. C’est également une amélioration par rapport à la semaine dernière, lorsque 75 comtés étaient en rouge. Un comté doit avoir un score inférieur pendant deux semaines consécutives avant d’abaisser les restrictions.
Chiffres quotidiens : comment lire le tableau de bord des coronavirus de l’Indiana
Indianapolis et ses comtés environnants sont tous en orange dans les scores hebdomadaires, bien que Hendricks, Johnson et Shelby soient toujours confrontés à des restrictions rouges.
Le gouverneur Eric Holcomb a déclaré mercredi qu’il prolongerait et modifierait ces restrictions, qui devaient expirer dimanche à 23 h 59. Elles seront désormais en vigueur au moins jusqu’à fin février.
Les nouvelles restrictions limiteront les rassemblements sociaux à 25 % de la capacité dans les comtés orange et rouge et à 50 % de la capacité dans les comtés jaunes. Auparavant, les rassemblements dans les comtés rouges étaient limités à 25 personnes, et non à un pourcentage, tandis que les comtés orange étaient limités à 50 personnes.
Voici dans quelle couleur chaque comté de l’Indiana est classé en fonction du niveau consultatif, qui détermine les restrictions :
Comtés confrontés à des restrictions rouges
- Courbé sur
- Blackford
- Clark
- Argile
- Crawford
- Davies
- Cher né
- Dubois
- Fontaine
- Franklin
- Gibson
- Harrison
- Hendricks
- Henri
- Jaspe
- Johnson
- Knox
- La Porte
- Montgomery
- Ohio
- Brochet
- Posé
- Ripley
- Se précipiter
- Shelby
- Spencer
- Starke
- Steuben
- Suisse
- syndicat
- Garenne
- Warrick
- Blanc
- Whitley
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Contactez Ethan May, journaliste aux transports d’IndyStar, à emay@indystar.com ou au 317-402-1058. Suivez-le sur Twitter : @EthanMayJ .
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Alors que les aficionados du basket-ball ont peut-être accueilli avec joie l’annonce de la NCAA selon laquelle un nombre limité de fans pourront assister au tournoi masculin le mois prochain, certains experts en santé publique n’étaient pas aussi étonnés par cette perspective.
Certains sont allés jusqu’à dire qu’ils s’inquiétaient d’un éventuel événement de grande diffusion et ont suggéré que June Madness pourrait être un timing plus réfléchi.
Cependant, trois départements de santé du comté – Marion, Monroe et Tippecanoe – et le ministère de la Santé de l’Indiana ont donné leur bénédiction au plan, qui permettrait jusqu’à 25 % de capacité sur les six sites accueillant des matchs.
Les responsables de la NCAA ont déclaré dans un communiqué publié vendredi qu’ils avaient pris cette décision en collaboration avec des experts locaux de la santé.
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Mais certains experts en santé publique se disent préoccupés par le fait qu’inviter des spectateurs à y assister pourrait créer des problèmes.
Ce n’est pas tant jouer ou regarder les matchs, mais tout ce que les fans qui assistent pourraient faire qui troublent le Dr Gabriel Bosslet, pneumologue à la faculté de médecine de l’université d’Indiana qui dirige la mise à jour Hoosier COVID-19 , une page Facebook avec plus de 39 000 abonnés.
Au cours d’une période de trois semaines, des fans d’autres États entreront et repartiront d’Indianapolis, se pressant potentiellement dans les restaurants et les bars tout au long de leur visite, en d’autres termes "les choses exactes que les responsables de la santé publique disent qu’ils ne devraient pas faire pendant une pandémie mondiale". ," il a dit.
"Je ne suis pas fan de la proposition des fans", a déclaré Bosslet. "Je m’inquiète pour les jeux eux-mêmes, mais je pense que les dégâts sont encore plus importants, ce qui amène des gens de tout le pays à s’ébattre au centre-ville pendant trois semaines."
L’année dernière, moins d’une semaine après que l’Indiana ait eu son premier cas de coronavirus, la NCAA a brusquement annulé le tournoi 2020, en raison des inquiétudes liées au COVID-19. Cette année-là, la NCAA a décidé d’organiser l’intégralité du tournoi dans le centre de l’Indiana et de créer une bulle autour des équipes.
En outre, a déclaré Caine, le ministère de la Santé surveillera de près ce qui se passera dans les semaines à venir.
« Nous devons tous continuer à être vigilants », a-t-elle déclaré. « Nous continuerons à surveiller les données sur le COVID-19 et, en tant que groupe, apporterons les ajustements nécessaires aux protocoles avant la dénonciation. La protection de la santé de toutes les personnes impliquées est notre priorité absolue.
Les variantes de souches sont préoccupantes
Bien que le nombre de cas et de décès ait chuté de façon spectaculaire au cours du mois dernier, les experts en santé publique notent que les États-Unis connaissent un nombre toujours croissant de souches variantes, ce qui, craignent certains, entraînera une nouvelle hausse en mars.
En fait, de nombreux experts estiment que la souche B.1.1.7, identifiée pour la première fois au Royaume-Uni et considérée comme plus infectieuse, deviendra la souche dominante en circulation le mois prochain. Jusqu’à présent, près de 1 525 cas impliquant cette souche ont été identifiés aux États-Unis, dont 14 dans l’Indiana.
Le tournoi pourrait attirer des fans non seulement du centre de l’Indiana et de l’État, mais aussi de plus loin. Les fans pourraient venir de l’Illinois, qui a enregistré plus de 40 cas impliquant la nouvelle souche, ou du Michigan (157 cas) ou d’aussi loin que la Floride, qui a jusqu’à présent identifié 433 cas.
L’organisation d’un tournoi de cette taille pourrait poser des problèmes de recherche des contacts pour Indianapolis, a déclaré Thomas Duszynski, directeur de l’enseignement de l’épidémiologie à l’École de santé publique de l’Université d’Indiana-Purdue d’Indianapolis Fairbanks.
Il doit y avoir un mécanisme en place pour obtenir les coordonnées des spectateurs. Ainsi, si quelqu’un est testé positif après les jeux, les responsables de la santé publique peuvent en informer toute personne ayant été exposée au virus afin qu’elle puisse surveiller les symptômes et se mettre en quarantaine, a-t-il déclaré.
Les responsables de la santé publique le font déjà régulièrement pour certaines maladies infectieuses, chaque fois qu’ils le peuvent, comme la rougeole ou la tuberculose.
Craintes d’un événement de super propagation
Les fans devront également faire ce qu’ils peuvent pour garantir que le tournoi ne se transforme pas en un événement à grande diffusion. S’ils se sentent malades, ils ne devraient pas y assister, a déclaré Duszynski. S’ils y participent, ils doivent porter un double masque, un masque chirurgical sous un masque en tissu et emporter avec eux une bouteille de désinfectant pour les mains.
Idéalement, ils s’auto-isoleraient également avant et après le tournoi afin de réduire le risque qu’ils soient infectés et qu’ils puissent le transmettre à d’autres.
"Il y a des raisons de croire que nous pourrions faire cela en toute sécurité, mais nous avons vraiment besoin de l’aide du public à ce sujet", a-t-il déclaré. "Cela va certainement être plus difficile pour le public."
Et Bosslet, qui est vacciné, et Duszynski, qui n’est pas encore éligible au vaccin, n’ont pas hésité lorsqu’on leur a demandé s’ils y assisteraient s’ils en avaient l’occasion.
Absolument pas, dirent-ils tous deux.
Si les jeux devaient avoir lieu plus tard cette année, a déclaré Bosslet, sa réponse pourrait être différente.
"Si la folie de mars avait eu lieu en juin, si c’était la folie de juin, je pense que ce serait peut-être bien", a-t-il déclaré, "mais cela se produit littéralement à une époque d’incertitude massive."
Contactez la journaliste d’IndyStar Shari Rudavsky à shari.rudavsky@indystar.com. Suivez-la sur Facebook et sur Twitter : @srudavsky.
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Avant les événements sportifs importants qui se dérouleraient à Indianapolis en mars, l’avocat Joe Hogsett a annoncé aux jeunes que la ville assouplirait les restrictions en matière de bars et de restaurants à partir du mois de lune.
Il n’est pas possible de maintenir les installations en permanence ouvertes après 2 heures du matin, car les nus peuvent désormais s’afficher à 50 % de leur avant-première contre 25 %, a expliqué Hogsett. Les restaurants peuvent utiliser 75 % de leur capacité à recevoir des ventes à l’intérieur du local, lorsque le maximum autorisé est de 50 %.
Les gymnases peuvent également gagner 50 % de leur capacité, à partir du niveau actuel de 25 %.
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Si bien que les changements coïncident avec les prochains tournois de baloncesto masculin de la Conferencia de los Diez Grandes et de l’Asociación Nacional Deportiva Universitaria (National Collegiate Athletic Association, NCAA), qui tendraient à se trouver dans la zone centrale de l’Indiana, Hogsett s’est rendu compte qu’il ne l’avait pas. rien à voir avec la flexibilité.
« Quiero dejar claro, sin embargo, que la Fiebre de Marzo (March Madness) ne connaît pas ces décisions », a commenté.
Más bien, le virement doit être descendu dans la cifra de casos et dans l’indice de positif, manifesté.
L’indice des cas positifs dans le quartier de Marion a été réduit de 16,4 % en décembre à 3,8 % finalement, bien que sous l’ombre de 5 % les responsables du secteur de la santé considèrent le niveau auquel les communautés peuvent se réactiver avec sécurité.
Alors que les fonctionnaires du secteur de la santé dans l’État sont très attentifs aux statistiques, les habitants doivent continuer à compléter les mesures de santé publique que les fonctionnaires ont prévu de ce moment-là il y a un an pour réduire la contagion.
« Permaneceremos unidos, tan pendientes como siempre », a indiqué Hogsett. «Une opportunité pour le maire, une responsabilité pour le maire.»
Pendant le tournoi, il faudra prendre des mesures pour éviter que les événements ne soient contagieux. Seuls les équipements se trouvent dans une burbuja qui comprend des tests fréquents, des masques et des dispositifs pour surveiller la surveillance de quelqu’un avec d’autres : ils seront instruits par la fanatique sur les mesures qui doivent être prises pour se protéger, a déclaré Caine.
Caine a déclaré que, même si elle indique les chiffres des cas et les indices positifs, il n’anticipe pas d’augmenter l’heure pour les événements. La semaine dernière, la NCAA a signalé que, dans le tournoi masculin qui commençait au milieu du mois de mars, l’heure publique maximale était de 25%.
Les spécialistes du secteur saluent la préoccupation quant à la possibilité de circuler de nouvelles maladies à cause du COVID-19, certains types de maladies pouvant être plus contagieux.
Sans embargo, Caine ne s’inquiète pas tant que les gens voyageant à Indianápolis et traiga avec leurs germains, car elle se rencontre entre les habitants d’Indianápolis qui d’une autre partie et traen un virus de recuerdo.
« Si quelque chose me préoccupe plus, ce seront les vacances de printemps et ce que nos propres habitants ont fait pendant cette période, quand nous vendons notre ville et notre état », a-t-il ajouté.
Actuellement, les habitants d’Indianapolis qui ont parcouru les autres 26 états se sont rendus compte qu’ils régressaient en courant dans leurs maisons pendant 14 jours.
Paul Babcock, directeur exécutif de la Corporación de Salud y Hospitales, a confirmé que, à ce moment-là, l’État révisait l’alerte des voyageurs pour l’adapter à la réalité actuelle. Il a été convenu que les responsables locaux du secteur de la santé ont suggéré que les visiteurs planifient des recommandations, notamment l’utilisation du masque et la distance sociale, pour éviter la contagion du virus.
"Le point est comme s’il était juste pour que les fanatiques passent par là", a commenté. « Nous pensons que nos mesures de protection et de prévention nous permettront de garantir la sécurité lorsque nous avons des mouvements individuels. »
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Veuillez contacter la journaliste d’IndyStar Shari Rudavsky à shari.rudavsky@indystar.com . Síguela sur Facebook et sur Twitter : @srudavsky.
L’Indiana a signalé lundi 421 nouveaux cas de COVID-19 et huit décès supplémentaires.